Une vraie cochonne est rarement symétrique. Jay, la jeune et grande brune de cette scène, en est un bon exemple. Sa minceur n’est pas synonyme d’étroitesse aux endroits utiles, bien au contraire. La salope a une grande bouche, une chatte bien souple et un trou du cul qui raffole des gros calibres. Et elle va être servie. Voilà un premier partenaire qui approche, la pine au garde-à -vous, et notre ogresse s’empresse de se la fourrer dans la bouche et de pomper comme une gloutonne cet engin pourtant bien trop gros qui lui frappe la glotte. En voilà une deuxième qui se pointe et sans hésiter, Jay se dédouble et pompe les deux bites tour à tour puis ensemble. Mais ce qu’attend cette affamée de la queue, c’est de s’en prendre deux dans les orifices en simultané. Un bon sandwich avec un gourdin dans chaque trou et elle en glousse de joie, la chatte déchirée, le cul totalement défoncé. Le diamètre ne fait rien à l’affaire, quand on est salope, on est salope !
Elle s’appelle Mia, on ne sait pas si elle danse, mais on voit facilement que c’est une salope hors-catégorie. Regard de salope, bouche de suceuse, gros nichons lourds, cul d’impératrice. Le modèle parfait qu’on retourne sur la table de la cuisine pour l’enculer direct. Mais pour cette séquence, notre cochonne en chef préfère un canapé et deux étalons membrés modèle démonte-pneu. Agenouillée entre les deux, elle suce comme une gloutonne, avalant jusqu’aux burnes une bite, puis l’autre, puis les deux ensemble c’est encore meilleur. Une fois prête, elle joue d’abord à « prends-moi la bouche, ma chatte est déjà pleine », avec un mec à chaque extrémité. Mais bien entendu rien ne vaut le sandwich de salope, une bonne double, un gros mandrin dans chaque trou et un double-bourrinage en rythme qui la fait glousser de joie. La salope est si pleine qu’elle va bientôt déborder, chaque orifice dégoulinant de sperme chaud. C’est bien connu, si les femmes ont deux trous, c’est bien pour qu’on y loge deux pines !
Héroïne de cette séquence, une jeune fille au regard bleu angélique, avec une frimousse de teenager américaine sage et souriante, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Et pourtant, on se rend compte rapidement qu’elle préfère qu’on lui donne des coups de bite sans concession. La fausse ingénue et vraie salope écarte bien grand les cuisses et nous exhibe sa chatte ouverte sans jamais perdre son sourire de demoiselle bien élevée. En revanche, quand son copain commence à lui lécher la foune et le cul, elle ne sourit plus, elle gémit. Ensuite, elle ne peut plus rien faire du tout d’autre que sucer, vu la taille du méga-paf de son mec qu’elle pompe et repompe dans toutes les positions. L’énorme mandrin est bien plus gros que la bouche de notre petite étudiante ; on comprend pourquoi quand le mec la retourne et l’embroche sur sa queue dressée, elle en gargouille de plaisir et de douleur à la fois. Mais la cochonne est gourmande et endurante. Elle se fait défoncer la chatte dans toutes les positions à grands coups de reins jusqu’à l’explosion de foutre finale qui coule le long de sa petite chatte rose. Que de salopinerie peuvent cacher de grands yeux clairs !
La latina est chaude par nature, mais Victoria est bouillante même pour une latina. Son corps respire la luxure, de ses lèvres épaisses, ses seins lourds aux tétons percés, sa croupe cambrée. Elle a la chatte en feu, Victoria, et se titille le démarreur, une main dans la culotte. Heureusement, deux queutards viennent à son aide au bon moment ; ils n’ont pas besoin de la caresser longtemps pour qu’elle leur saute au paf. Elle pompe et branle l’un et l’autre alternativement puis les deux ensemble. Elle va se placer ensuite entre les deux pour profiter du tandem de bites, suçant l’une pendant que l’autre lui tringle la chatte à grands coups de reins. Ils essaient plusieurs positions acrobatiques. Victoria s’en fiche, pourvu qu’une grosse pine lui remplisse à la fois la bouche et le con. D’ailleurs quand elle n’a rien dans la bouche elle grogne de plaisir, la cochonita, alors autant la fourrer comme un burrito jusqu’à ce que les deux gros pafs lui crachent une giclée bien chaude en guise de desssert !
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